LeHobbit : la bataille des cinq armées, un film de Peter Jackson | Synopsis : Le Hobbit : la bataille des 5 armées conclut les aventures de Bilbon Sacquet, Thorïn Écu-de-Chêne, et la Compagnie des Nains. Les Nains d'Erebor ont reconquis leur vaste terre, mais doivent désormais en payer le prix fort : affronter la colère du terrifiant Dragon Smaug qui s'en
À propos de Le Hobbit La Bataille des cinq armées Atteignant enfin la Montagne Solitaire, Thorin et les Nains, aidés par Bilbon le Hobbit, ont réussi à récupérer leur royaume et leur trésor. Ils ont également réveillé le dragon Smaug qui déchaîne désormais sa colère sur les habitants de Lac-ville. À présent, les Nains, les Elfes, les Humains mais aussi les Wrags et les Orques menés par le Nécromancien, convoitent les richesses de la Montagne Solitaire. Le Hobbit - Saga Bande d'annonce de Le Hobbit La Bataille des cinq armées Où pouvez-vous regarder Le Hobbit La Bataille des cinq armées en ligne ? Films suggérés LeHobbit : La Bataille des Cinq Armées est le troisième et dernier volet de la trilogie de Peter Jackson concenant le Hobbit. Ce film retrace l'achèvement des premières aventures de Bilbon Sacquet. Il est sorti en France le 10 décembre 2014. Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées présente le final épique des aventures de Bilbon Sacquet, Thorin et des 27 octobre 2020 - MAJ 09/03/2021 1558 La Rédaction 27 octobre 2020 - MAJ 09/03/2021 1558 Aventures Fantasy Le Hobbit, oui, mais en version longue environ 20 minutes de plus pour La Bataille des cinq armées. Alors que France 2 rediffuse la trilogie de Peter Jackson, adaptée de Tolkien, on revient sur les versions longues de chaque épisode, pour dire pourquoi elles sont largement préférables. "Will you follow me, one last time ? Un peu plus de smaug Entrée en matière épique et furibarde, l'affrontement entre Bard et Smaug était un des morceaux de bravoure les plus attendus de la trilogie. Et après une conclusion laissée en suspens dans le précédent chapitre, les spectateurs étaient chauffés à blanc, préparés à ce que le mythique dragon laisse sa fureur enflammée s'abattre sur Lake Town. Si à l'évidence cette introduction intensément spectaculaire n'a pas été bouleversée par ce nouveau montage. On trouve à peine trois nouveaux plans, mais, signe du perfectionnisme de Peter Jackson autant que de la précision de sa mise en scène, ils apportent quelques transformations notables. Le temps de nous laisser voir Bard progresser de toit en toit, effectuer une glissade spectaculaire, puis d'observer une nouvelle fois le cracheur de feu céleste enflammer les artères de la cité lacustre, c'est tout ce qu'il faut au cinéaste pour rééquilibrer sa scène à la perfection, mais aussi lui redonner une meilleure gestion de l'espace. En effet, avec cette greffe d'une poignée de secondes, on saisit mieux comment le héros incarné par Luke Evans se meut, tandis que la menace draconique gagne encore en létalité et en intensité. L'art du décapage un peu plus de sauron Le retour de ce "nécromancien", dont l'identité ne faisait pas de doute, n'avait cessé de se préparer en arrière-plan lors des films précédents. Il était temps de l'affronter. Et la version cinéma est déjà très impressionnante lors de la scène de Dol Goldur, où les plus sages des vioques de la Terre du Milieu bottent le popotin de Sauron. La version longue est cependant bien plus intéressante. Au détour de plans supplémentaires ou de prises alternatives, Galadriel apparait plus confiante, tandis que l'Anneau de feu détenu par Gandalf toujours le flamboyant Ian McKellen est à deux doigts de se faire subtiliser par les orcs. La diversité des ajouts qui suivent est assez unique et fait presque figure de leçon de montage. Le combat est un peu rallongé de partout, par petites touches, et certains effets spéciaux sont même modifiés, pour une expérience pas beaucoup plus longue par rapport à la version cinéma, mais indéniablement plus riche. C'est mal barré Comme souvent dans ce film, ce sont les bastons qui ont été coupées. Ici, les puristes du montage objecteraient que la version longue perd en rythme ce qu'elle gagne en fluidité. Notre amour pour les gestes guerriers d'Elrond l'emporte largement face à ce raisonnement. Après ce combat plus transformé que totalement étendu, un minuscule dialogue entre Gandalf et Radagast amène encore un peu plus de cohérence dans la suite des évènements. Le plus stone des magiciens de la Terre du Milieu confie son bâton au mage gris, ce qui explique sa présence lors de la bataille. Pas bête, le Jackson. Radagast met des bâtons dans les roues des Orcs beaucoup plus de Bad Thorin La trilogie du Hobbit ne lui aura pas valu une reconnaissance à la hauteur de son talent, mais Richard Armitage est bien la révélation qui électrise le récit de Peter Jackson. Et le comédien a droit à une séquence charnière, alors qu'il est toujours sous l'emprise de l'Arkentstone. La séquence se situe juste avant que le chaos s'empare du film et que Jackson nous dévoile son véritable plan, à savoir, livrer une des plus épiques chansons de geste jamais vues sur grand écran. Mais pour y parvenir, le cinéaste ne peut exclusivement se reposer sur des effets spéciaux déments, des chorégraphies créatives et autres artifices spectaculaires. Il faut que l'embrasement général ait un impact émotionnel, soit mû par des enjeux dramatiques dignes de ce nom. Et c'est précisément ce à quoi sert cette séquence, qui nous montre que même face à une possible alliance, alors qu'une résolution autre qu'un conflit total se présente, Thorin n'est plus en mesure de saisir la main tendue. Alors que ceux qui devraient être ses alliés tentent une ultime fois d'obtenir de lui qu'il ouvre les portes de sa cité, tienne son serment, et permette enfin à la paix de triompher, c'est peine perdue, le seigneur nain ne parvient à échapper aux torrents d'avidité qui ont assombri son âme. Scène et dialogues grandiloquents, il fallait tout le talent de Richard Armitage pour capturer l'essence brutale et tragique de ce personnage, qui laisse ici voir sa dimension tragique, mais aussi la formidable énergie qui l'habite, et présentement le consume. Notons que cette séquence, au-delà de sa force interne, fonctionne en écho avec le début de la fameuse bataille, elle aussi amputée au cinéma, puisque c'est l'arrivée de Dain qui inspire à Thorin cette ultime défiance, cette démence qui précipite la Terre du Milieu dans le chaos. En seulement 54 secondes, Jackson parvient à démultiplier la puissance fataliste de son film. L'héritage d'Armitage La chevauchée de Dain Le montage cinéma de La Bataille des Cinq Armées a été privé d'un de ses passages les plus épiques et nécessaire à la compréhension de ce grand opéra guerrier. En effet, si Thorin ose défier tous ses alliés, c'est parce qu'il sait son indéfectible soutien, Dain Ironfoot, sur le point de le rejoindre. Or, son débarquement, avec ses troupes en armure et à dos de bouquetins des enfers constituent un des passages les plus impressionnants du film, tant au plan technique qu'artistique. Leur chevauchée comble donc le mystère qui entourait leur arrivée dans le premier montage du film. Mieux, il est l'occasion d'un échange délirant entre les elfes, qui tentent de les stopper de leurs flèches, et les nains, qui projettent dans les airs un dispositif les réduisant en allumettes. Soit une manière bien inattendue et diablement cinégénique de renouveler les scènes d'archerie, vues et revues depuis une vingtaine d'années au cinéma. Et non content de nous donner ce beau morceau de spectacle, Jackson en rajoute une couche à l'impact, alors que les troupes de Dain percutent violemment les soldats elfiques. Jouant de tous les effets à sa disposition, enchaînant longs plans, inserts brutaux, jeux de perspectives et travellings impossibles, le metteur en scène réussit un début de bataille simultanément complexe, jubilatoire, surprenant et pour ainsi dire jamais vu. Un exploit, quand on sait que sa précédente trilogie, celle du Seigneur des Anneaux, fut à juste titre considérée comme un sommet de spectacle belliqueux, avant d'être largement copiée à son tour. Mais rien n'y fait, l'enthousiasme de ces premières minutes d'affrontement est irrésistible et n'a toujours pas été dépassé depuis. Une bataille qui rend chèvre Une bataille époustouflante On en vient à la toute première raison de se laisser tenter par ce montage. Des six films de Peter Jackson se déroulant dans l'univers de Tolkien, La Bataille des cinq armées est peut être celui dont la version longue est la plus indispensable. Car si les séquences évoquées précédemment apportent une profondeur, une fluidité et un souffle épique bienvenus, c'est bien au coeur de la gargantuesque bataille du titre longue d'à peine quelques pages dans le roman ! que la mise en scène de Jackson se laisse aller à la folie pure, embarquant dans un tourbillon de mouvements de caméra hallucinants et de violence un spectateur ébahi. La saga s'éloigne de plus en plus du texte de Tolkien, et le cinéaste l'assume totalement et frontalement dans cette gigantesque baston qui n'est rien d'autre qu'un terrain de jeu pour ses expérimentations visuelles, toujours inégalées à Hollywood. On se demande pourquoi New Line s'est décidé à couper les scènes rajoutées, tant elles tendent au divertissement pur, sans limites. La scène qui vaut à elle seule le visionnage de la version longue La piste principale reste leur niveau de violence. Dans la plupart des scènes qui seront détaillées un peu plus bas, les têtes volent comme des bouchons de liège et les monstres ennemis se font broyer sous la puissance armée de la compagnie naine, proprement invincible tant qu'elle sillonne le champ de bataille. Ou peut-être que l'absurdité de certains effets, initiée avec les lances tournoyantes de Dain, rebutait trop des producteurs déjà échaudés par l'accueil méfiant des amateurs de littérature sur les opus précédents. Reste que la version longue transforme un affrontement indigeste en un trip d'action incontrôlable. Passons sur les quelques plans supplémentaires montrant Thranduil et Dain défoncer dans une folie meurtrière particulièrement bien chorégraphiée orcs, gobelins et trolls. Ce sont vraiment les nains qui motivent toute l'action, à commencer par le duo Bombur Bofur, progressant à sa manière dans la vague d'ennemis. Le premier démontre une technique de combat... particulière, tandis que le second monte carrément sur un troll tout droit échappé des pires caves sadomasochistes berlinoises pour mieux le contrôler et faire basculer la baston dans une autre dimension, la dimension Jackson. 15 secondes supplémentaires pour ce duel, de fait bien plus sanglant Car vient une des séquences les plus dingues de sa filmographie celle où plusieurs nains traversent littéralement le champ de bataille en direction d'Azog au volant d'un chariot détruisant tout sur son passage, faisant presque penser à une version tank de la tondeuse à gazon de Braindead. Difficile de décrire le chaos qui en résulte. La petite troupe découpe son chemin à travers ouargs, orcs et trolls. Tous finissent en charpie au cours de cette chevauchée fantastique dantesque qui convaincra même les plus déterminés des détracteurs de la trilogie. Et c'est loin d'être fini, car la mort tant espérée de l'irritant Alfrid et le combat de crâne de Bifur oui oui suivent pour ajouter encore au délire. Enfin, le retour de deux personnages très appréciés vient apposer la cerise sur cet énorme gâteau sanglant. L'attaque de Beorn, présente dans le bouquin et dans une bande-annonce qui avait fait bon usage de ces séquences supplémentaires, est rallongée pour notre plus grand plaisir oursophile. Et surtout, la 6e armée de la bataille, Legolas, fait un carnage à Ravenhill, porté une fois de plus par une mise en scène qui l'affranchit des lois de la gravité. Dans la version longue, il s'accroche à une chauve-souris pour décapiter toute une rangée d'orcs. Fatality. Résigné à ne plus s'agenouiller respectueusement devant chaque ligne de l'auteur qu'il adapte, Jackson use de son univers et ses personnages pour s'amuser avec sa mise en scène et les moyens colossaux mis à sa disposition. Et maintenant qu'on a assez râlé sur ce parti-pris, il est temps de s'assoir confortablement, attraper n'importe quoi de comestible et de gras, et profiter du spectacle. Tout savoir sur Le Hobbit La Bataille des cinq armées Le Hobbit Ian Mckellen, alias Gandalf, a détesté jouer dans la trilogie Le Hobbit les nains trouvent que les films de Peter Jackson ont raté leur coup Publication d'un inédit de Tolkien bientôt une adaptation au cinéma ? Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi TéléchargerLe Hobbit : la Bataille des Cinq Armées Telecharger Films Francais. Télécharger Le Hobbit : la Bataille des Cinq Armées BLURAY/MKV - TrueFrenchLe Hobbit : la Bataille des Cinq Armées | Film Complet En Francais 720p - Film Gratuit FR >>>Télécharger Le Très attendue en raison des coupes assez sèches de la version cinéma , la version longue de "La Bataille des Cinq Armées" devrait sortir d'ici moins d'un an. Une version longue qui, pour beaucoup, n'aura jamais été aussi nécessaire au vu de l'absence de scènes cruciales. Les hypothèses vont donc bon train depuis la sortie du dernier volet. Entre les plans absents du film aperçus dans les trailers et les différents spots TV ainsi que les informations apportées par le "Le Hobbit La Bataille des Cinq Armées Chroniques Art & Design" de David Falconer, nous pouvons dresser une liste des ajouts qui seront susceptibles d'apparaître dans la version longue. Attentions aux spoils ! Commençons tout d'abord par les différents plans des trailers et spots TV absents du film. Ce fut l'un des tous premiers plans diffusés pour la promotion de cet ultime épisode. Celui d'Azog sur un promontoire rocheux, exhortant ses troupes. Un plan qui a été retravaillé entre temps puisque son armure a été intégrée. Aucun signe de ce passage dans la version cinéma. Il en est de même pour ce travelling mettant en scène les Elfes en train de bander leurs arcs. Ce plan du dragon ravageant Lacville est absent de la version cinéma. La version longue devrait - pour notre plus grand plaisir - nous offrir plus de Smaug. Ce plan de Sauron est manquant. L'occasion d'enrichir l'arc de Dol Guldur et de voir le seigneur des ténèbres combattre ? Sur ce char, on observe Balin, Dwalin, Fili et Kili poursuivis par des Wargs. Lors de notre dernier live, nous regrettions l'absence de scènes où l'on voit des armées charger. Celle des Nains sur les boucs était très attendue, en vain. Elle devrait logiquement apparaître dans la version longue et éviter ainsi la confusion lorsque Thorin, Dwalin, Kili et Fili décident de rejoindre Ravenhill à l'aide de boucs sortis de nulle part. Ce plan de Legolas et Tauriel observant les réfugiés de Lacville est absent de la version cinéma. L'occasion de glisser un dialogue entre nos deux protagonistes avant leur départ pour Gundabad ? voir deuxième photo ci-dessous Une réplique de Balin "Nous ne pouvons gagner ce combat" apparue dans de nombreux spots TV est également manquante. La scène a l'air de se dérouler lorsque Balin, les larmes aux yeux, évoque avec Bilbon l'Arkenstone et la maladie du dragon. Cet ajout pourrait se placer dans la continuité de cet échange. Si dans le livre, les Nains et les Elfes commencent à s'affronter avant de se liguer contre les Orques, il n'en est rien dans la version cinéma. Cela pourrait toutefois être le cas dans la version longue. En effet, les plans où une nuée de flèches est envoyée par les Elfes et où les Nains tirent avec des balistes ne sont pas présents. Ces images de Bard dans la seconde bande annonce s'accrochant in extremis à une flèche plantée dans un toit devraient se retrouver dans la version longue. "Tout ce que j'ai fait, je l'ai fait pour eux". Cette phrase de Thorin dans la seconde bande-annonce a été retirée du montage final. La réplique de Bilbon "Face à la mort, que peut-on faire" figurant dans le second trailer n'apparaît pas dans la version cinéma. Ces plans aériens montrant les Orques de Gundabad s'engouffrant dans les trous creusés par les Mange-Terre tandis que Gandalf déclare "C'était la dernière étape d'un vaste plan. Un plan longuement mûri" ont eux aussi disparu de la version cinéma. Tout comme cette ultime réplique de Gandalf "Vous ne devez répondre qu'à une question comment ce jour finira-t-il ?" Notons également que trois répliques entendues dans les multiples trailers et spots TV sont manquantes - Une partie du monologue de Bilbon face à Thorin a été supprimée "Un jour je me souviendrai. Du bon. Du mal. De ceux qui ont survécu, de ceux qui n'ont pas survécu". - Dans un spot TV, Bilbon affirme "Je me battrai jusqu'à la mort". - Dans un autre, c'est Gandalf qui annonce "Le temps est sur nous et nous devons choisir de quel côté nous sommes." - Nous pouvons à présent nous tourner vers les révélations offertes par l'ouvrage de David Falconer. Et elles sont nombreuses ! Des scènes de Beorn à Dol Goldur En premier lieu, à l'image de la version longue de "La Désolation de Smaug", celle de "La Bataille des Cinq Armées" sera l'occasion de voir des scènes impliquant Beorn, qui doit se contenter de quelques secondes dans le dernier opus. Peter Jackson et Philippa Boyens l'ont d'ailleurs confirmé. Comme nous l'avions vu grâce à certaines photos de tournage, Beorn devrait être présent à Dol Goldur. Ce passage dans la forteresse de Sauron sera l'occasion de voir le changeur de peau mis à mal par les Orques. Des dessins montrent ainsi Beorn se faisant torturer par ces derniers. A ce sujet, Alan Lee, directeur artistique, déclare Dans la scène de l'évasion, Gandalf est salement blessé et Radagast l'évacue de Dol Goldur sur son traîneau. Il s'en suit une course poursuite effrénée et périlleuse à travers les ruines du château, au milieu des escaliers et des ponts effondrés, qui se conclut en apothéose avec les deux Mages jaillissant des étages inférieurs, en train de s'écrouler, avant de filer dans la forêt. A un moment, on devait voir Beorn prisonnier des Orques. C'était l'occasion pour Radagast de se montrer héroïque. » A noter que Beorn pourrait se battre sous sa forme humaine à l'aide d'une hache. Beorn emmènera Thorin loin du champ de bataille Toujours concernant Beorn, il devrait se charger de transporter le corps sans vie de Thorin à Erebor. Ce fait est illustré par l'artwork ci-dessous. Rappelons que dans le livre, c'est bel et bien Beorn qui tente de défendre Thorin avant de l'emmener à l'écart de la mêlée. Radagast offre son bâton à Gandalf Une chose est sûre la version longue permettra au moins de savoir de quelle façon Gandalf récupère le bâton de Radagast. Alan Lee a confirmé que ce dernier l'offrait à Mithrandir lorsqu'ils se séparent après le sauvetage de Dol Goldur. Cela sera peut-être l'occasion de voir Radagast expliquer ses motivations. Destruction de l'arc-lance par Smaug Alors qu'elle a été introduite dans la version longue de "Un Voyage Inattendu" et "La Désolation de Smaug", on ne sait pas ce qu'il advient de l'arc-lance lors de l'assaut de Lacville par Smaug. Il est possible que l'on voit sa destruction dans la version longue. En effet, John Howe a affirmé la chose suivante Smaug reconnaît l'antique baliste rouillée au sommet du plus grand beffroi de l'hôtel de ville – et, d'un coup de sa queue hérissée, il la met à bas. » La salle des comptes d'Erebor La version longue permettra probablement de découvrir de nouveaux lieux au sein du Royaume des Nains. Ainsi, alors que la compagnie est à la recherche de l'Arkenstone, le livre de David Falconer évoque une salle des comptes, destinée à classer et inventorier l'immense trésor récupéré. Certains dessins représentent notamment Bifur en train de tirer un chariot, d'autres avec Ori et Dori en train d'empiler les richesses. Quant à Bombur, représenté comme l'expert du groupe, il doit estimer le trésor et rédiger un descriptif complet du magot une tâche qui incombera peut-être aussi à Balin, voir troisième photo ci-dessous. Chaque pièce doit être examinée et Thorin espère ainsi mettre la main sur l'Arkenstone. La cloche permettant de détruire le mur Le passage de la cloche en bronze qui permet aux Nains de défoncer le mur qu'ils ont construit pour rejoindre le champ de bataille pourrait comporter quelques plans supplémentaires, si l'on en croit John Howe et Gus Hunter John Howe Les Nains, pour qui les poulies et leviers n'ont pas de secrets, récupèrent une grande cloche en bronze que Smaug a fait tomber sur son passage, et qu'ils suspendent en haut de leurs fortifications improvisées. Quand ils la lâchent, la cloche effectue un ample mouvement de balancier, défonce le mur, passe du côté des Orques en train de faire le siège, puis elle roule sur le champ de bataille en écrasant bruyamment quiconque n'est pas assez prompt pour l'éviter. » Thorin et sa Compagnie sortent de la Montagne pour se jeter dans la bataille, et nous voulions soigner leur arrivée. L'idée d'une cloche géante à l'intérieur d'Erebor, propulsée comme un bélier à travers le mur, était un moyen parfait de les lancer dans le combat. Nous avons imaginé que Dain serait en train de se faire bastonner par des Orques et que des débris de la Grande Porte le sauveraient en leur tombant dessus. » La mort d'Alfrid Alfrid a pris beaucoup de place dans ce troisième film, sans pour autant connaître de fin. Ce à quoi la version longue pourrait remédier. Greg Tozer, concepteur de Weta Workshop, explique la façon dont il pourrait mourir Sachant qu'Alfrid devait mourir au cours de la bataille, nous avons réfléchi à la manière dont cela pouvait arriver. J'avais une idée qui rappelait la situation de Burke dans Aliens, le retour, quand le personnage incarné par Paul Reiser sacrifie tout le monde autour de lui pour se protéger et, se croyant en sécurité, finit par mourir de façon assez horrible. Alfrid aurait pu s'enfermer quelque part, laissant femmes et enfants à l'extérieur, avant de se faire tuer par des Orques qui réussissent à pénétrer dans sa cachette. Peter préférait néanmoins qu'Alfrid se retrouve d'une façon ou d'une autre dans une catapulte, d'où il est projeté pour atterrir dans la bouche d'une créature horrible. Nous avons avons fini par dessiner un Troll dédié à ce gag mais, avant que cette idée aboutisse, j'ai suggéré une autre version montrant Alfrid acculé sur une poutre ou une planche en équilibre au bord d'une falaise. Un Orque faisait contrepoids à l'autre bout mais Bard, en voulant sauver Alfrid, le tuait d'une flèche l'Orque tombait, la planche basculait et Alfrid achevait sa chute sur un Troll. » Les Nains de la compagnie prennent le contrôle d'un Troll Continuons sur les Trolls. Nous apprenons par l'intermédiaire d'Andrew Baker, également concepteur chez Weta Workshop, qu'un Troll baptisé Troll de Bofur » devait être attaqué par Bofur et les autres Nains afin d'en prendre le contrôle et de le retourner contre les Orques. Peter Jackson voulait lui donner une tête de bébé, ayant un air stupide et dont le spectateur aurait pitié. Ce serait un troll influençable qui se laisserait guider par celui qui le dirige. Il a les yeux saturés et à la place des membres, des moignons auxquels sont fixés des fléaux, à l'image de celui que Legolas tue avant d'affronter Bolg. Ce sera ainsi l'occasion pour les Nains de la compagnie - qui n'ont pas eu leur acte de bravoure sur le champ de bataille - de s'illustrer. Des Trolls lanceurs de troncs d'arbre Les Trolls ont décidément une place prépondérante dans le film puisque Andrew Baker, toujours lui, parle d'une nouvelle arme qu'il aurait imaginée des Trolls grimpant en haut des crêtes pour jeter des troncs d'arbre qui dévaleraient la montagne et viendraient s'abattre sur les combattants. Peter Jackson a proposé d'ajouter des chaînes d'où jailliraient des têtes de marteau et des lames quand les troncs roulent le long de la montagne. Une scène d'action qui pourrait venir s'insérer dans la version longue. Balin mènera les Nains et les Elfes dans la vallée Tandis que Thorin, Dwalin, Fili et Kili se rendent à Ravenhill, c'est Balin qui se verrait attribuer le rôle de chef des armées dans la vallée. Rien de plus logique sachant que Balin est un conseiller proche de Thorin. D'après ce qui est évoqué, il devrait d'ailleurs être blessé sur le champ de bataille et les autres Nains le hisseraient sur un bouclier pour qu'il tienne au-dessus de la mêlée et qu'il mène la contre attaque. Ce sera aussi l'occasion de voir l'ensemble des Nains de la compagnie se battre, dont Bombur se battant avec un gigantesque fléau voir photos ci-dessous. Comment Bilbon rejoint Ravenhill ? Une scène supplémentaire pourrait concerner Bilbon se rendant à Ravenhill. Effectivement, il est indiqué que Bilbon doit traverser une rivière au fond d'un ravin. Au départ, il devait emprunter une tour qui s'était écroulée contre la falaise de Ravenhill lors de l'attaque de Smaug, et qui formait donc une sorte de pont naturel pour la traversée. Bilbon devait être poursuivi par des Orques et la tour devait s'effondrait sous leurs pieds. Peter Jackson aimait bien l'idée mais il la trouvait plus adaptée à l'affrontement entre Bolg et Legolas. Pour Bilbon, ils ont donc imaginé un autre concept impliquant une roue à aubes, qui permettait à la ville de Dale de récupérer l'eau de la rivière en contrebas. Une fois que la gigantesque roue vogue, Bilbo n'a plus qu'à s'agripper à une pagaie et à se laisser porter. Cela permettait notamment d'ajouter des scènes d'action dangereuses. Des scènes dans "le monde de l'Anneau" ? Une partie de l'ouvrage de David Falconer est consacrée au monde de l'anneau. Nous en avons eu un petit aperçu dans le film, où les elfes sont représentés comme des êtres spirituels et les créatures maléfiques comme le néant. Une idée très pertinente qui permettait d'opposer le bien au mal. Les concepteurs de Weta Workshop affirment que les Orques, Wargs et Trolls seront capables de sentir la présence de Bilbon et réagir à son passage. "Les Orques eux-mêmes n'en ont pas conscience, mais l'esprit maléfique en eux, l'esprit de Sauron, de Morgoth ou de n'importe quelle autre Force Obscure qui les fait agir, serait soudainement affecté par la proximité de l'anneau" affirme Andrew Baker. Bilbon pourrait même assister à la mort de quelques Elfes "Il me paraissait intéressant de montrer ce qui se passe quand un Elfe meurt, de voir son halo s'éteindre, puis son esprit quitter son corps" voir dernier photo ci-dessous déclare de son côté Greg Tozer. Legolas et la chauve souris Si vous n'avez pas apprécié ce moment "what the fuck" où Legolas s'empare d'une chauve souris pour aller jusque Ravenhill, sachez que cette scène risque d'être allongée. En effet, des artworks représentent Legolas, la tête à l'envers en train de tirer des flèches sur les Orques. Des sangliers et un joueur de flûte Nain dans la VL ? On sait qu'à l'origine, Dain devait chevaucher un sanglier. Les sangliers pourraient finalement être présents puisque John Howe explique que pour le design de certaines haches, il a ajouté des pointes en bas de la lame pour faire écho aux défenses des sangliers cuirassés sur lesquels ils chevauchent pendant la bataille ». En plus des boucs que l'on apercevait dans le premier trailer, nous pourrions donc avoir également des sangliers. PS Paul Tobin concepteur Weta parle également de Nains armées d'arbalètes. Il est aussi question de joueur de flûte nain sur le champ de bataille ! Il est expliqué que les chars des Nains des Monts du Fer sont tirés par des boucs - comme nous le voyons dans le premier trailer - et que Thorin, Fili, Kili et Dwalin réquisitionnent un char, équipé d'une baliste, pour se rendre à Ravenhill avant de libérer les boucs du char et de gravir la montagne. Gobelins des Mont Brumeux et Wargs Si ces deux armées ne sont pas réellement présentes dans le film, elles sont bien évoquées dans l'ouvrage de David Falconer et l'on pourrait en voir plus dans la version longue. John Howe explique que les Gobelins les plus courageux, arborant des armures qui les protégeraient du soleil, se mêlent aux armées d'Azog et de Bolg en route vers Erebor. Voyage de retour Bilbon récupère le butin des Trolls Dans l'introduction au voyage de retour de Bilbon, David Falconer indique que Bilbon récupère les deux coffres enterrés dans la caverne des Trolls que les Nains lui ont demandé de reprendre. A noter que le portrait de Bilbon que l'on aperçoit dans le prologue de "Un Voyage Inattendu » est un cadeau d'Ori. Bien entendu, la version longue comprendra le couronnement de Dain, dont voici quelques illustrations. Nous apprenons via Empire Magazine qu'une scène a d'ores et déjà été confirmée par Martin Freeman. Il s'agit du moment où Bilbon franchit le mur pour aller donner l'Arkenstone à Thranduil et Bard. Bofur le surprend au moment de son départ en pensant qu'il veut échapper à l'affrontement qui aura lieu le lendemain entre les Nains et les Elfes mais il ne se doute pas du tout que Bilbon détient l'Arkenstone. Voici ce que devrait dire Bofur au hobbit "Je sais que vous voulez nous laisser parce que nous allons avoir une bataille demain. Donc, si vous voulez vous échapper, je ne le dirai à personne." - Enfin, terminons par quelques hypothèses - Une scène devrait logiquement être consacrée aux pierres de Lasgalen et à l'Arkenstone, dont leur sort pourrait se régler lors de l'enterrement des trois Nains Thranduil déposant l'Arkenstone dans la tombe de Thorin et les Nains rendant au Roi des Elfes son bien. - Il est possible également de voir une courte scène destinée à approfondir le futur de Tauriel. Que devient-elle ? - Tout comme quelques plans montrant Bard devenant seigneur de Dale et de la ville qui se reconstruit petit à petit. - Il paraît également évident qu'une scène impliquera Bifur pour expliquer de quelle façon le bout de hache qui était planté dans sa tête n'est plus présent à la fin du film voir photo ci-dessous. - Le roman s'achevant par la visite de Gandalf et Balin à Bilbon [ce qui ferait ainsi écho à la réplique de Bilbon adressé aux Nains "Vous serez toujours les bienvenus. Inutile de frapper. Le thé est à quatre heures" si mes souvenirs sont bons ^^]; il se pourrait que Balin donne alors des nouvelles de Bard, de la reconstruction de Dale et de Lacville etc.. Une telle scène n'est pas à exclure, Balin pouvant se lancer dans un monologue pendant que les nouvelles qu'ils énumèrent seraient traduites en images à l'écran, à l'instar de ce qui a été fait pour la retranscription de la Bataille d'Azanulbizar par Balin dans "Un Voyage Inattendu". Cela permettrait de trouver une conclusion à certaines sous-intrigues en quelques secondes tout en faisant un joli clin d’œil au livre. "Cher Bilbon, Salutations de sous la montagne ! Voilà de nombreuses années que nous n'avons joui de la compagnie de notre honnête cambrioleur. Nous vous adressons nos meilleurs vœux de loin, à l'occasion de votre 111ème anniversaire. Dwalin, Dori, Nori, Bifur, Bofur, Bombur et Gloin à votre service ! La plupart d'entre nous sont trop vieux pour entreprendre le voyage vers la Comté. En effet, Bombur ne peut presque plus se déplacer, il faut six jeunes Nains pour l'amener du canapé à la table. Les routes cependant sont bonnes les Beornides gardent le col et le gué du Carrock, mais leurs frais de passage sont élevés, donc si jamais vous passez par ici, nous vous accueillerons à bras ouverts. A votre service, comme toujours, Gloin" Vous remarquerez que Gloin parle du 111ème anniversaire de Bilbon, soit l'âge qu'il a dans le prologue de "Un Voyage Inattendu" et dans "La Communauté de l'Anneau". Une telle scène avec Ian Holm a toutes ses chances de se retrouver dans la version longue. Là encore, le fait que le père de Gimli évoque les Beornides et les autres Nains, il se peut que l'on ait quelques extraits les concernant. Vous noterez que Gloin ne parle pas d'Oin, Ori et Balin, partis à la reconquête de la Moria. Il n'est donc pas impossible de voir des images à ce sujet. Nous arrivons à la fin de ce dossier. Bien sûr, toutes ces informations et hypothèses en tout genre n'apparaîtront pas forcément dans la version longue. A moins que l'on ait droit à 45 minutes de scènes supplémentaires. On ne bouderait pas notre plaisir ... Nicolas

Résuméde Le Hobbit : La Bataille des cinq armées Atteignant enfin la Montagne Solitaire, Thorin et les Nains, aidés par Bilbon le Hobbit, ont réussi à récupérer leur royaume et leur trésor. Mais ils ont également réveillé le dragon Smaug qui déchaîne désormais sa colère sur les habitants de Lac-ville. À présent, les Nains

Maisils ont également réveillé le dragon Smaug qui déchaîne désormais sa colère sur les habitants de Lac-ville. A présent, les Nains, les Elfes, les Humains mais aussi les Wrags et les Orques menés par le Nécromancien, convoitent les richesses de la Montagne Solitaire. La bataille des cinq armées est imminente et Bilbon est le seul à pouvoir unir ses amis
Lisezplus de bandes dessinées, y compris Le Hobbit : La Bataille des cinq armées (2014), une série mettant en vedette Le Hobbit : La Bataille des cinq armées écrite par Jonathan Hickman avec des illustrations de Brandon Peterson. Il est publié par les bandes dessinées Marvel et se déroule dans un futur alternatif connu sous le nom
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Aprésent, les Nains, les Elfes, les Humains mais aussi les Wrags et les Orques menés par le Nécromancien, convoitent les richesses de la Montagne Solitaire. La bataille des cinq armées est imminente et Bilbon est le seul à pouvoir unir ses amis contre les puissances obscures de Sauron. Origine du film : Américain, Néo-zélandais
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Thorinet les Nains ont atteint la Montagne Solitaire et repris possession de leur royaume et de leur trésor avec l'aide de Bilbon le Hobbit. Le dragon Smaug, tiré de son sommeil, n'apprécie pas et le fait savoir aux habitants de Lac-ville. Une gigantesque bataille se
Cettehistoire se déroule 60 ans avant la Guerre de l’Anneau. Le Hobbit est l’histoire de Bilbon Sacquet, oncle de Frodon. C’est un hobbit comme les autres, évitant le danger, l’action, l’aventure ainsi que les autres races que les hobbits. Il apprécie le plaisir simple de se sentir bien au chaud dans sa demeure. Mais un soir, treize nains font leur entrée chez
LeHobbit : La bataille des cinq armées . films 151 min 2014 . ajouter aux favoris retirer des favoris . indisponible. réalisé par : Peter Jackson. avec : Martin Freeman, Ian McKellen, Richard Armitage, Evangeline Lilly, James Nesbitt, Cate Blanchett, Orlando Bloom, Billy Connolly. Thorin Ecu de Chêne et les Nains ont repris possession de la Montagne
ayvi.